Notre matériel

Pyrénées Aérostats propose à ses clients d'utiliser la montgolfière comme support de communication.

Une montgolfière quel que soit sa taille est composée d'une enveloppe, d'une nacelle, d'un brûleur et de bouteilles.

Le volume des montgolfières, que nous proposons, répondront à vos critères de communication et/ou de marketing.

Comment fonctionne une montgolfière ?

L'air est un fluide expansible et compressible (principe physique d'Archimède). En le chauffant, on diminue sa densité et il devient plus léger que l'air se trouvant autour.

Ainsi, un ballon gonflé d'air chaud tend à s'élever dans le ciel.

Comment diriger une montgolfière ?

Son déplacement horizontal est toujours assuré par le vent que subit la montgolfière : elle évolue dans le lit du vent !

Son déplacement vertical, ou ascension, est contrôlé par le pilote.

Ainsi, plus le pilote chauffera l'air contenu dans l'enveloppe, grâce au gaz propane contenu dans les bouteilles, et plus la montgolfière prendra de l'altitude.

Au contraire, s'il arrete de chauffer, au contact de l'air ambiant l'air contenu dans l'enveloppe se refroidit, cela provoquera la descente progressive du ballon.

En conclusion, le pilote dirigie donc son ascension mais il subit la direction des vents qui heureusement change avec l'altitude. C'est la raison pour laquelle une équipe est composé d'un pilote et d'un équipier, qui est donc désignée pour le suivre en voiture jusqu'à son aire d'atterrissage.

Météo : quelques règles de base

On comprend aisément que le vol en montgolfière se pratique dans des conditions d'air calme, c'est-à-dire en situation anticyclonique (absence de mouvements verticaux et vent faible compris entre 5 et 10 noeuds, soit entre 9 et 18 km/h environ maximum).

Du fait de la température de l'air ambiant, en été, le vol peut avoir lieu tôt le matin et en fin de journée, tandis qu'en hiver il peut s'effectuer à n'importe quel moment de la journée.

Les vols captifs exigent des conditions météorologiques encore plus drastiques puisqu'il doit y avoir un vent quasi nul.

Pour garantir les meilleures conditions de vol, le pilote consulte les bulletins météorologiques nationaux et régionaux, au préalable (les prévisions étant fiables à 48 heures au maximum).

Réalisation axyneT